Loin des formules et pensées toutes faites, le texte de Léonora Miano vient bousculer les mots et les récits forgés par une Europe conquérante, détisser le langage de la colonisation et du capitalisme, pour retrouver le fil de l’humain − son désir de spiritualité et de beauté. Une parole qui se veut « un chant, une célébration » pour sortir de la victimisation et réclamer haut et fort un droit à exister, dans le passé, dans le présent et dans l’avenir.
Avec le soutien de l’ONDA

En partenariat avec le Lycée Professionnel du Larivot