Partant du constat d’une polarisation à marche for-cée des interactions humaines, conduisant les indi-vidus ou les « masses » à choisir « le bon camp », la pièce interroge l’impact que génère sur les peuples, la violence des discours injonctifs assenés par la ma-jorité des gouvernances quelle que soit leur paroisse (démocraties parlementaires, autocraties, autres ré-gimes).
A travers l’allégorie du chien, animal iconique de la do-mestication de la nature par l’homme et du Loup, re-présentant la part sauvage et indocile, la pièce articule la dialectique nature/culture, et pose la question de l’anéantissement de l’une des parties à travers une inte-raction avec les publics.