Le monologue à deux voix rend l’absence palpable et nous prend à témoin d’un amour qui fait place aux remords, d’un rêve qui vole en éclats… La mise en jeu de la lumière et du son, la scénographie et le mapping vidéo donnent vie à l’absente sur la scène tel un hologramme. Ils font résonner le manque et la violence du déracinement au plus profond de chacun. Avec une apparente légèreté, le texte délicat de Simone Schwarz-Bart restitue à la condition d’exilé, vécue de l’intérieur, une dimension universelle.
« Profondément sensible, sur l’amour et l’acceptation de l’autre. » L’Humanité, 15 juillet 2018.
« Wilnor, incarné avec une sensibilité à fleur de peau par le comédien Lamine Diarra, touche au plus juste le cœur du public ! » Le Vaucluse Matin, 25 juillet 2018
Distribution
Mise en scène Maud Galet Lalande | Textes Simone Schwarz-Bart Interprètation Lamine Diarra | Décor Nicolas Helle | Costumes Maud Galet Lalande | Musique Mélanie Gerber | Lumières Vincent Urbani Chorégraphies Joseph Aka | Assistant à la m.e.s Hervé Urbani
Acheter pour le vendredi 18 octobre | Acheter pour le samedi 19 octobre